Comment ça se passe, un vieux souvenir de Lille où j’ai tourné les roues de ma maz’ 323 GTX dans la cité phare. C’était le rêve à l’époque, surtout avec son look sportif et sa fiabilité. Même après 20 ans, elle résiste avec une allure qui ne passe pas inaperçue. J’en connais qui restaurent les leurs, et franchement, je vois le côté jolie pépite, d’autant plus pour une virée sur l’autoroute des 2 Mers. Pas con de redécouvrir ça !
À Dijon, j’avais une Mazda 323 GTX à l’époque, une vraie bagnole qui pétaradait même sur le chemin de la cote. Changeait de boussole au vent, mais un charme fou qui ne se trouve plus. On se demande parfois pourquoi on ne garde pas ces pépites au lieu de toujours courir après les dernières gloires.
J’ai un souvenir ému de ma 323 GTX de Rouen, garée près de la vue sur la Seine. C’était une sportive cool, pas trop prise au sérieux mais tellement amusante à conduire. Un vrai crève-cœur de l’avoir vendu, t’aurais dû la voir sur le périph’ tinter des diables. Un pur délice.
J’ai croisé une Mazda 323 GTX en piste près d’Amboise, Tours, ça avait un charme incroyable ! Franchement, c’est une bombe avec ce moteur rotatif, un vrai bijou d’une autre époque. Trop cool à revoir de nos jours !
J’ai toujours eu un faible pour la Mazda 323 GTX, surtout quand j’arpentais les rues pavées de Paris en me rendant au boulot. C’était un vrai bonheur à conduire, cette petite sportive avec son look retro. Moi qui tracke souvent ces pépites, je me disais qu’elle méritait vraiment d’être redécouverte. Quand j’entendais son bruit de moteur, ça foutait la banane toute la journée !