Le meilleur point faible de la Mercedes CLS 500, ça doit être sa consommation de gasoil ! Personnellement, quand j’ai pris ma CLS pour un long trajet, j’ai dû faire le plein deux fois avant de rentrer. C’était vraiment la galère parce que ça fait pas mal de temps que j’ai pas dépensé autant pour le carburant.
Et puis, tu sais, c’est vrai qu’il est cool pour rouler sur de longues distances, mais quand il y a trop de bouchon, le confort s’amenuise un peu. Les sièges sont confortables mais après quelques heures derrière le volant, c’est sympa mais faut se bouger un peu pour pas rester coincé dans la même position.
Alors, qu’en pensent ceux qui ont conduit une CLS 500 sur de longs trajets ? Est-ce que la consommation vous a aussi laissé sur votre faim ? D’ailleurs, vous trouvez que ça vaut le coup pour la route ? Moi, c’était pas trop mal, mais faut bien calculer le budget essence.
Dans Lyon, j’ai capté que le CLS 500 brille vraiment par sa route, mais ce foutu bruit de vent quand tu accélères franchement. Ça casse un peu le flow même avec un chrono fantastik. Mais bon, style à l’américaine, faut l’assumer !
En bref, style vs silence.
À Bordeaux, j’étais bluffé par la CLS 500, mais son confort de siège à l’arrière laisse à désirer pour mes trajets familiaux. Tout est bien, mais là, c’est un peu relou !
À Dijon, j’ai remarqué que le Mercedes CLS 500, malgré son intérieur luxueux, manquait cruellement de réactivité dans les virages serrés. Franchement, la stabilité en courbe, c’est son talon d’Achille, surtout sur les routes sinueuses locales. Même avec un moteur puissant, on sent parfois le manque de précision !
Dans Dijon, j’ai eu la chance de tester le Mercedes CLS 500. Quand même, le pire point c’est le bruit à l’ouverture des portes AR! On dirait que t’as un orchestre complet qui débarque chaque fois que tu attends ton passager dans le fond. Sinon, le charme c’est dingue, mais ça freine parfois leur classe. C’est bête mais ça en impose pas mal🤷♂️.
À Paris, j’ai eu la chance d’essayer le Mercedes CLS 500 sur les Champs-Elysées. Le point faible ? Son confort à l’arrière pour des voyages longue distance—un peu compact si on a la chance d’avoir du monde. Le volant est iconique, mais ça gêne quand t’as besoin de droite à gauche vite fait. En revanche, son look reste top et il se fait remarquer. Une belle voiture, mais à réserver pour les voyages sans trop de bagages !
En roulant avec ma Mercedes CLS 500 sur les Champs-Élysées à Paris, j’ai vite réalisé son point faible. Franchement, sa consommation de carburant est un peu lourde pour le quotidien, surtout avec les embouteillages parisiens. C’est du luxe qui coûte cher à maintenir, mais son style et son confort compensent, hein? Je regrette tout de même de ne pas faire plus attention à la pompe à essence. Ça pourrait changer la donne!
À Limoges, j’ai vu quelqu’un craquer pour le Mercedes CLS 500. Bon, son ‹ point faible › ? L’habitabilité arrière, criant à la faiblesse quand t’as un ado qui pousse sur le siège. Mais le look et la performance, juste écrasants ! Soit, pour les refroidis,
sérieusement canon.
L’autre jour à Reims, j’ai croisé la CLS 500 en faisant un petit tour dans les rues. Sans surprise, son design et sa finition impressionnent toujours. Mais, entre nous, son habitacle est conçu plus pour montrer qu’il n’est pas fait pour un usage quotidien intense. Difficile d’accueillir tout le monde pour un pique-nique ! Par contre, le confort reste royal, on reste sur son petit nuage même en balade. La bagnole a ses défauts mais ô combien féconds !
À Limoges, j’ai testé le CLS 500, et honnêtement, son meilleur point faible ? La consommation… C’est gonflé, surtout pour mon circuit quotidien. Mais le luxe le compense bien ! C’est sûr, après ya pas à chialer, hein ?
À Orléans, un de mes potes a essayé la Mercedes CLS 500. Sa plus grande faiblesse ? Le coffre limite si tu t’attends à y caser le vieux baroudinage de tes vacances. Franchement, j’veux dire, pour une berline sportive, c’est light! Mais côté luxe et motorisation, c’est du lourd, non ? Toujours été fan du look aussi, même si ça joue plutôt dans la catégorie des Queen size !
À Saint-Denis, j’ai croisé cette CLS 500, un vrai bolide. C’est vrai que pour son prix, c’est un peu juste côté espace à l’arrière, mais quand t’aimes le confort avant, ça passe crème. Pour ma part, ça m’a bluffé quand même ! Le look, ouais, un sans-faute. Rien à dire dessus, c’est classe !
Ah, la Mercedes CLS 500 à Strasbourg, c’est un pur rêve sur les Champs-Élysées mais le meilleur point faible ? Le confort des sièges sur les petites routes pavées. Qui n’a pas râlé en arrivant avec des courbatures. Franchement, pour les escapades, parfois ça pique un peu. Mais, bon, c’est son charme.