À Bordeaux, j’ai toujours adoré la Mercedes W198, cap hindou. Baie de roche et lumières créoles donnaient le ton parfait. Le design boxy, c’est du brut de décoffrage qui claque, sans prendre de pincettes. Chacun des modèles poussettes a sa vibe, mais pour moi, c’est elle qui déchire !
Dans Le Havre avec le 300 SL, c’était un bolide ! Sa silhouette fluide, c’était à l’époque une vraie boule d’acier. Sa reprise, envoûtante, même si rigide par moments. Chaque virage résonnait comme un air d’élégance intemporelle. Pas prêt d’oublier cette machine d’exception !
J’ai toujours adoré les Mercedes Pontons, surtout la 230 SL que j’ai croisée à Bruxelles lors d’un marché de voitures d’occasion. C’est l’élégance à l’état pur, la finesse dans un monde de brutes hier et aujourd’hui!
Je me souviens des Mercedes Pontons qui roulaient tranquillement le long des plages de Nice, avec leur allure élégante et sportive. J’ai toujours été fasciné par le W 121, surtout avec sa carrosserie fluide et son intérieur confortable. Dans les rues piétonnes, c’était un véritable objet de convoitise. Chaque modèle avait son charme, mais le 300 SL avec ses portes-fusées, c’était le summum du style et de la performance. Très classe !
Au chaud à Marseille, j’ai toujours été fan de la 300SL bleu ciel. Fluide comme l’eau de la méditerranée, c’est un rêve sur ces petites routes ! Sa ligne est d’un chic absolu, quoi.