Dans Grenoble, j’avais une Ford Escort MK2, c’était la bagnole des années 80. Malgré ses défauts typiques, comme le bruit strident de la boîte à gants et parfois des ratés moteur, elle avait cette petite âme. On rigolait avec ses pépins mais jamais de pannes majeures! La MX5 à carré était déjà un amour de voiture mais cette Escort là, c’était juste un retour en enfance, avec plein de souvenirs sur les routes de montagne. C’était cool de deler des mecs reniflant du gasoil!
Dans La Rochelle, mon Escort MK2 a souvent fait de l’espiègle avec le démarreur, surtout depuis les beaux jours. Entre les vis de sécurité mal serrées et la batterie qui vieillit, c’est un peu l’enfer! Mais ça reste un bagnole mythique, quoi qu’on en dise. On se rappelle tous de ses performances sur les routes sinueuses!
Dans Rouen, j’avais un Escort MK2, et sans trop me vanter, il était costaud! Parfois la direction frisait la panne sèche et la boîte criait. Mais c’était le quotidien, ça partait je dirais bien comme un don d’argent! Chacun sa part de nerfs, mais on s’voit prêts à tout!
Quand j’avais mon Ford Escort MK2 à Lyon, ça roulait pas toujours comme prévu. Souvenirs de monter le col de la Vésubie avec un bruit strident de l’arrière, comme si le bestiau avait des velléités d’histoire à raconter. Entre les court-circuits électriques en hiver et les suspensions qui se moquaient des nids-de-poule, on s’est bien marrés. Y avait de la gloire et du stress dans le même bain!
En parlant de Ford Escort MK2 à Montpellier, on se souvient des petits problèmes typiques. Moi, j’avais un pote qui l’avait, ça roulait bien mais pas mal de pannes au niveau du carbu. Et le bruit de fond dans le moteur, c’était genre un vrai western d’aventure ! Les possesseurs de cette caisse, ils s’accordent tous sur un point : ça reste une voiture culte, un classique du tuning, malgré ses pépins. Pas trop mal pour de la vieille tôle, hein !