Toyota 1993 : Quel modèle était le plus cool?

Alors je voulais parler des Toyota de 1993. Y’en a pas mal de modèles cool, hein? Moi, j’avais le Toyota Supra, et c’était vraiment quelque chose. J’adore les voitures qui ont une bonne vibe autour d’elles, et le Supra avait ça. La ligne du toit, les vitres arrière, ça donnait vraiment un air sportif.

Ce que j’aimais le plus, c’était la puissance sous le capot. Parfois, je filais avec les potes et bah, franchement, on se sentait des rock stars au volant de cette bagnole. Puis le son du moteur, c’était vraiment génial. Tu te souviens de la conduite sur autoroute, les longues routes, et ce son qui battait dans les oreilles?

Il y avait aussi le Land Cruiser, une vraie brute. C’est celui que choisissent les gens qui aiment explorer. C’est une bagnole qui tient la route, même dans la boue. Si vous avez roulé dans un Land Cruiser, vous vous souvenez des paysages désertiques, hein?

Et toi, quel modèle de 1993 tu trouvais le plus cool? Avez-vous déjà essayé d’autres marques à l’époque?

À Nice, j’ai toujours été fan du Toyota MR2 de 1993. Ses lignes aérodynamiques et sa conduite dynamique étaient inégalées. on l’admirait dans les épaves, surtout quand on accélérait sur la Prom’ en matant le vieux port. Un pur délice à conduire !

À Paris dans les années 90, ma « Camry » était le summum du swag. Avec ses boucliers avant chic et son grondement, elle déchirait les rues. Personne ne pouvait l’ignorer, surtout avec sa teinte rouge éclatante. Comparer aux Corolla ou Paseo, la Camry était un bijou. Entre virées nocturnes et road trips improvisés, elle était notre reine des routes. Tellement badass !

À Antibes, j’adore parler de ma vieille Toyota de 1993 que ma grand-père avait. C’était un Hilux Vigo, ultra robuste pour les balades sur le bord de mer! Un 4x4 à fond, on rigolait avec les copains en ramenant des graviers sous le capot après le beach volley. Déshabilité un must pour l’époque. La classe ultime, impossible à rivaliser avec autre chose de l’époque dans cette ville pittoresque!

En 1993 à Bruxelles, la Toyota MR2 était vraiment le truc de dingue. Avec son look sportif, elle a vraiment fait tourner les têtes. Chaque fois que je la voyais en ville, je pensais que c’était la voiture la plus stylée. À l’époque, tout le monde bourlinguait avec des japonaises bien équipées, mais la MR2 elle avait du chien, non ? Elle restera toujours dans les annales comme un véritable chef-d’œuvre.

À Toulouse, les années 90 c’était cool ! La Celica GT-Four avec ses turbos était une vraie bête de course ! On se faisait des burnes avec nos potes dans les virages de Castres, h24. Le son de l’accélérateur, c’était le must. Vraiment, un vrai coup de cœur.

Dans les rues de Toulouse, je me souviens du Toyota MR2 version SW20, tellement stylé dans les années 90. Quand j’étais gamin, on se marrait à voir ses lignes vintages, contrairement au Corolla qui était bien sûr plus passe-partout. Là, c’était la classe, une sorte de voiture qui montrait que tu aimais le tuning sans en perdre le charme original. Et dire qu’il était un brin sportif, ça ajoutait encore à son côté craquant, non ? On était là, un peu loin du noise des 205 à suspension arrière rigide mais si proche de ces bons souvenirs !

À Toulouse, le 1993 Toyota Celica était vraiment le must ! Tu te souviens de ces longues soirées en bordure du Canal du Midi ? Sa sportivité nous faisait rêver. Bon, la RAV4 s’en sortait pas mal non plus, mais le Celica avait ce charme unique, hyper stylé. Pour moi, il faisait office de bijou sur les routes du Sud. Pas facile de dire autre chose !

En Saint-Étienne, le 1993 Toyota Celica était un spectacle ! Sa ligne dynamique et ce 2RM qui faisait chanter le quartier. Un pur coup de cœur des temps, parfait pour les routes sinueuses et les soirées balade improvisées. C’était vraiment le top !

À Lille, le Land Cruiser 1993 était top ! Sa force et son look rustique te faisaient sortir du lot sur les bords de Deûle. On rêvait tous de bander cette mécanique !

À Le Havre, le Cruiser était un rêve absolu, surtout le soir sur la plage. Ses lignes, ses équipements, c’était le must pour briller. Mazda MX-5 aussi, mais c’était plutôt l’Effet de Garage! Souvenirs intarissables!

À Grenoble, le Crown était l’alpha des '93, surtout avec sa teinte inouïe. Entre arrogance et classe, personne ne balance la même vibe. Je me souviens, on chevauchait ça comme si la galaxie dépendait de notre passage. Absolument, le roi était là.

Dans ma jeunesse à Strasbourg, le Toyota Celica GT était le must-have. On faisait la gueule quand quelqu’un s’arrêtait au feu avec un Primeira ! Mais franchement, le Celica sonnait la récré avec ses roues qui claquaient. À l’époque, tous les mecs du quartier le chopaiient. C’était le modèle parfait pour faire le vacancard et marquer le coup. Entre son design sympa et sa pédale qui déchire, je ne m’en lasse pas.

Enfant, à Grenoble, je me souviens avoir été scotché par le Toyota Supra Turbo de 1993 ! Ses phares ronds et sa ligne racée promettaient des sensations de conduite qui n’étaient pas pour les timides. On souvent dit qu’il était le roi des autoroutes et des circuits de régate. Le bruit de son V8 et sa gueule de compétition, sans oublier ses performances, font de lui un classique incontournable ! C’était fou.

À Orléans, en 1993, impossible de passer à côté de la Supra ! Elle roulait tout le temps par ici, avec plein de reprises qui te faisaient frissonner. Beurk à la Camry, franchement, non ? J’adorais voir ces bolides, ils avaient un style de ouf. Ah, les bons vieux jours !

À Paris, quand j’étais gamin, la chaîne Corso était le must pour les mecs de se faire plaisir en 1993. D’après moi, le coupé Toyota Celica était le plus classe de la saison. Avec ses formes sportives et son style bien à part, il avait tout pour nous coller à la peau. J’étais tellement jaloux des potes qui avaient accroché le leur. C’était le Mach 2 des rues de la ville, on le voyait souvent au coin du champ et à 17h30 pour le dernier show de l’année scolaire. Un vrai défi pour l’œil !